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©David Mauas toutes les photos
«Peut-être le premier film noir historico-intellectuel. Le documentaire de Mauas est à la fois séducteur et éclairant» Washington
Jewish Film Festival «David Mauas est un bon disciple [de Walter Benjamin]. Qui a tué Walter benjamin n'est pas seulement un documentaire sur un illustre penseur inclassable, mais aussi et avant tout un travail réalisé grâce à une profonde connaissance de l'œuvre et de la virtuosité stylistique de Benjamin.
C'est le produit d'un genre hybride à la croisée entre la pure documentation et les artifices de la vidéo artistique, et qui par moments, parvient à mettre en lumière le travail narratif de Benjamin lui-même.
Une documentation sans doute peu utile aux historiens et aux criminologues, mais précieuse à tous les amants du penseur allemand et aux étudiants en communication, en arts audiovisuels ou en philosophie. Et surtout à tous ceux qui réunissent ces caractéristiques, à la fois intéressés, à la manière de Benjamin, par les interrelations et par la fructification mutuelle de toutes ces disciplines.» Isaac Risco, Una extraña muerte en Portbou «Dans un documentaire aux airs de Mulholland Drive, le réalisateur David Mauas nous relate sa recherche personnelle, parfois obsessive, sur les circonstances qui vont entourer la mort du philosophe allemand.
Se croisent les nombreux témoignages des habitants du village et des spécialistes qui posent sur la table une évidence: on ne peut pas prouver de manière irréfutable que Benjamin se soit suicidé» Valèria Gaillard, El Punt «Mauas prend la caméra et tourne, tourne. Il laisse parler ceux qui entendirent un jour l'histoire racontée par d'autres, ceux qui vécurent à cette époque et qui se souviennent (…) Walter Benjamin est toujours présent dans le film, bien que son image apparaisse à peine. Il demeure chez les autres, dans leurs souvenirs ou dans leur imagination…» Lola Huete Machado, El Pais Semanal «Le résultat est un film noir qui se situe entre le documentaire classique et la vidéo de création. Dans "Qui a tué Walter Benjamin…" il ne s'agit pas seulement de reconstruire la mort de l'écrivain mais il s'agit aussi de recréer "la scène du crime» La Vanguardia «Avec persévérance, Mauas arrache aux témoins de l'époque des détails révélateurs ignorés jusqu'à aujourd'hui et laissés de côté par des spécialistes de Benjamin de niveau international» Bettina Bremme, Die Tageszeitung «Ce film est un événement, étant donné que par le biais d'un récit sur la mystérieuse mort d'un penseur allemand, un petit village des Pyrénées catalanes se transforme soudain en un point de rencontre de l'histoire européenne.» Gregor Ziolkowski, Deutschland Radio«Portbou n'est pas seulement le lieu qui pourrait rappeler la mort d'un des plus grands philosophes du XX° siècle, mais également l'endroit où il est possible d'explorer la richesse de sa pensée. Il suffit pour cela de visiter le monument passage de l'artiste israélien Dani Karavan, sur la colline qui domine l'horizon, pour comprendre la force qu'acquiert ici la mémoire. La visite du lieu se transforme en une expérience inoubliable. On observe la même chose avec le film de David Mauas Qui a tué Walter Benjamin... Cette œuvre d'art, construite avec la rigueur et la sobriété d'un Claude Lanzmann, multiplie de façon exponentielle le pouvoir de la mémoire. En mettant les habitants du lieu face à leurs souvenirs du passage au village de ce professeur allemand qui s'est ôté la vie, selon certains, ou qu'on lui a ôtée, selon d'autres, ou qu'il s'agisse d'une simple mort, d'autres mémoires affleurent, en lien avec la guerre civile, qui donnent au thème de la mémoire la dimension morale et politique qu'elle mérite réellement.»Manuel Reyes Mate, El Periódico de Catalunya Dossier de presse complet (tÉlÉchargement pdf)
C'est le produit d'un genre hybride à la croisée entre la pure documentation et les artifices de la vidéo artistique, et qui par moments, parvient à mettre en lumière le travail narratif de Benjamin lui-même.
Une documentation sans doute peu utile aux historiens et aux criminologues, mais précieuse à tous les amants du penseur allemand et aux étudiants en communication, en arts audiovisuels ou en philosophie. Et surtout à tous ceux qui réunissent ces caractéristiques, à la fois intéressés, à la manière de Benjamin, par les interrelations et par la fructification mutuelle de toutes ces disciplines.» Isaac Risco, Una extraña muerte en Portbou «Dans un documentaire aux airs de Mulholland Drive, le réalisateur David Mauas nous relate sa recherche personnelle, parfois obsessive, sur les circonstances qui vont entourer la mort du philosophe allemand.
Se croisent les nombreux témoignages des habitants du village et des spécialistes qui posent sur la table une évidence: on ne peut pas prouver de manière irréfutable que Benjamin se soit suicidé» Valèria Gaillard, El Punt «Mauas prend la caméra et tourne, tourne. Il laisse parler ceux qui entendirent un jour l'histoire racontée par d'autres, ceux qui vécurent à cette époque et qui se souviennent (…) Walter Benjamin est toujours présent dans le film, bien que son image apparaisse à peine. Il demeure chez les autres, dans leurs souvenirs ou dans leur imagination…» Lola Huete Machado, El Pais Semanal «Le résultat est un film noir qui se situe entre le documentaire classique et la vidéo de création. Dans "Qui a tué Walter Benjamin…" il ne s'agit pas seulement de reconstruire la mort de l'écrivain mais il s'agit aussi de recréer "la scène du crime» La Vanguardia «Avec persévérance, Mauas arrache aux témoins de l'époque des détails révélateurs ignorés jusqu'à aujourd'hui et laissés de côté par des spécialistes de Benjamin de niveau international» Bettina Bremme, Die Tageszeitung «Ce film est un événement, étant donné que par le biais d'un récit sur la mystérieuse mort d'un penseur allemand, un petit village des Pyrénées catalanes se transforme soudain en un point de rencontre de l'histoire européenne.» Gregor Ziolkowski, Deutschland Radio«Portbou n'est pas seulement le lieu qui pourrait rappeler la mort d'un des plus grands philosophes du XX° siècle, mais également l'endroit où il est possible d'explorer la richesse de sa pensée. Il suffit pour cela de visiter le monument passage de l'artiste israélien Dani Karavan, sur la colline qui domine l'horizon, pour comprendre la force qu'acquiert ici la mémoire. La visite du lieu se transforme en une expérience inoubliable. On observe la même chose avec le film de David Mauas Qui a tué Walter Benjamin... Cette œuvre d'art, construite avec la rigueur et la sobriété d'un Claude Lanzmann, multiplie de façon exponentielle le pouvoir de la mémoire. En mettant les habitants du lieu face à leurs souvenirs du passage au village de ce professeur allemand qui s'est ôté la vie, selon certains, ou qu'on lui a ôtée, selon d'autres, ou qu'il s'agisse d'une simple mort, d'autres mémoires affleurent, en lien avec la guerre civile, qui donnent au thème de la mémoire la dimension morale et politique qu'elle mérite réellement.»Manuel Reyes Mate, El Periódico de Catalunya Dossier de presse complet (tÉlÉchargement pdf)